Pas bouillir 2/5 « Nouvelles brèves du Cosmos »

Je vivais dans une société où l’année commence au 1er janvier et finit le 31 décembre à minuit. Où le temps est celui du calendrier des postes (accessoirement Grégorien), où l’emploi de ce même temps relève de Quo Vadis (l’agenda) et s’articule en périodes ouvrables, dimanches, fériés et vacances ainsi qu’on appelle ces pincées de joursLire la suite « Pas bouillir 2/5 « Nouvelles brèves du Cosmos » »

Pas bouillir (1/5) « Tu appartiens à une lignée »

Je continuerais volontiers et de préférence à me taire s’il n’était pas devenu aussi urgent et impérieux de parler au contraire, de poser sur la table tout ce qui peut et même tout ce qui pourrait engendrer la moindre étincelle nécessaire à l’allumage d’un grand feu purificateur.

#Ecrire à propos de la double culture (seconde partie)

Double culture veut non seulement dire « double série de représentations du monde », mais également double langue. Et quand on prend en considération qu’une langue est déjà en soi un outil d’abstraction du réel, on comprend à quel point cela rend l’exercice d’écrire plus complexe encore. J’ai parlé du conflit immanent à toute culture dans laLire la suite « #Ecrire à propos de la double culture (seconde partie) »

#Ecrire à propos d’une double culture (première partie)

Drôle de formule, j’en conviens. Peut-on écrire à propos d’une double culture ? N’est-ce pas plutôt la double culture qui s’écrit à travers nous ? Je suis née en France, mais seulement un quart de « sang français » coule dans mes veines, le reste est pour moitié napolitain, pour un quart piémontais. Le quartLire la suite « #Ecrire à propos d’une double culture (première partie) »

Vivre dans une société sans cou…

Ah, ah, ah ! Je vous voir arriver… une société sans cou… J’aurais aussi bien pu intituler ce billet « Vivre dans une société sans con… » ou carrément « sans c… », mais la liste serait alors si longue que ce serait vous inviter à la noyade. C’est fou à quel point est élevé le nombre des mots deLire la suite « Vivre dans une société sans cou… »

Un chemin qui a du cœur

Il paraît que tous les chemins se valent et que de toute manière, ils ne mènent nulle part. C’est en tout cas ce que prétend Don Juan, le mentor et sorcier Yaqui notoire mis en scène par Carlos Castaneda dans son œuvre littéraire. La suite de la citation est : « Par conséquent, choisis un chemin quiLire la suite « Un chemin qui a du cœur »

A la poursuite de la « Note Bleue »

Il n’y a qu’une seule raison d’écrire, le reste n’est que faux prétextes. Cette raison, c’est la poursuite de la « Note Bleue ». Les autres arguments, la plupart du temps non conscients et/ou non assumés, et n’ayant rien à voir avec l’acte d’écrire sont : une façon de passer le temps, de se distraire, d’apporter quelque choseLire la suite « A la poursuite de la « Note Bleue » »

#Écrire à propos du père

C’est en me réveillant ce matin que j’ai entendu cette injonction : « Ma grosse (ou ma belle, ch’sais pus), lève-toi, marche jusqu’à la machine à café, verse-t’en un, et va rédiger #ecrireapropos… du père. Il faut dire que je m’étais endormie, hier au soir, en demandant à mon inconscient de choisir pour moi le thèmeLire la suite « #Écrire à propos du père »

Ecrire, c’est comme broder… un peu

Il y a des mots, des expressions qu’on ne dit plus couramment de nos jours, ou qu’on n’ose plus prononcer, car ils peuvent faire de nous des gens démodés, trahir notre âge, dire qu’on a assez vécu. Pffft ! Place aux suivants. Il est plutôt rare de nos jours d’entendre dire d’un auteur qu’il a « brodéLire la suite « Ecrire, c’est comme broder… un peu »